Étude de cas : Impression 3D sur la piste de course avec RLL Racing


Comment rester en tête de course ?
Ainsi, les innovations et progrès dans ce domaine se succèdent eux aussi à grande vitesse, et chaque concurrent cherche à avoir du matériel dernier cri. La conception itérative, basée sur un cercle vertueux de réflexion, de création, d’essai et d’amélioration, est essentielle pour garder une longueur d’avance sur les autres équipes.
Dans ce contexte, l’impression 3D peut jouer un rôle déterminant.
L'impression 3D entre en lice
Une pièce sur mesure qui aurait pris, avec les méthodes traditionnelles, plusieurs semaines pour être fabriquée peut désormais être produite en quelques jours. Les mécaniciens peuvent même imprimer des outils parfaitement adaptés aux pièces sur mesure.
Et, par-dessus tout, les ingénieurs et designers peuvent débrider leur créativité et tester des formes qui étaient auparavant impossibles à réaliser. Le poids de chaque pièce peut être optimisé, tout comme sa force et résistance.
RLL utilise une MfgPro230 xS pour revisiter leur système de freinage
Pendant une course, la chaleur générée par les freins est dissipée par des conduits d’air spéciaux. Lors des arrêts aux stands, par contre, il n’y a pas suffisamment de courant d’air pour évacuer la chaleur, et c’est là que les choses peuvent se compliquer.
Tout comme l’électricité trouve toujours le chemin le moins résistant pour rejoindre le sol, la chaleur trouve naturellement le moyen le plus rapide de se transférer vers des zones plus froides. Après une utilisation intensive dans les virages des pistes, les freins peuvent atteindre des températures allant jusqu’à 900°C ; cela est dangereusement difficile à refroidir rapidement.
À de telles températures, le phénomène de transfert de la chaleur peut, dans le pire des cas, provoquer l’inflammation des pièces environnantes, mais également détériorer la performance des freins, une éventualité tout aussi funeste.
L’impression en 3D de la pièce, bien que réalisée en plusieurs sections détachées qui ont dû être assemblées par la suite, a permis à RLL Racing d’obtenir une pièce en nylon solide et bien ajustée. Résultat, une amélioration des performances de freinage, une optimisation du temps et une sécurité accrue pour le pilote et l’équipe de mécaniciens.
Ce n’est qu’une des nombreuses impressions 3D qui ont aidé RLL à atteindre la ligne d’arrivée. Rahal Letterman Lanigan utilise la technologie d’impression 3D de XYZprinting depuis 2018. Celle-ci a sans aucun doute contribué à la victoire de leur pilote Takuma Soto aux 500 miles d’Indianapolis cette année.

Takuma Soto au Indianapolis Motor Speedway après avoir gagné la course IndyCar 500 (plus de 800 km parcourus à toute vitesse !).

La XYZprinting MfgPro 230 xS.


Comment rester en tête de course ?
Ainsi, les innovations et progrès dans ce domaine se succèdent eux aussi à grande vitesse, et chaque concurrent cherche à avoir du matériel dernier cri. La conception itérative, basée sur un cercle vertueux de réflexion, de création, d’essai et d’amélioration, est essentielle pour garder une longueur d’avance sur les autres équipes.
Dans ce contexte, l’impression 3D peut jouer un rôle déterminant.
L'impression 3D entre en lice
Une pièce sur mesure qui aurait pris, avec les méthodes traditionnelles, plusieurs semaines pour être fabriquée peut désormais être produite en quelques jours. Les mécaniciens peuvent même imprimer des outils parfaitement adaptés aux pièces sur mesure.
Et, par-dessus tout, les ingénieurs et designers peuvent débrider leur créativité et tester des formes qui étaient auparavant impossibles à réaliser. Le poids de chaque pièce peut être optimisé, tout comme sa force et résistance.
RLL utilise une MfgPro230 xS pour revisiter leur système de freinage
Pendant une course, la chaleur générée par les freins est dissipée par des conduits d’air spéciaux. Lors des arrêts aux stands, par contre, il n’y a pas suffisamment de courant d’air pour évacuer la chaleur, et c’est là que les choses peuvent se compliquer.
Tout comme l’électricité trouve toujours le chemin le moins résistant pour rejoindre le sol, la chaleur trouve naturellement le moyen le plus rapide de se transférer vers des zones plus froides. Après une utilisation intensive dans les virages des pistes, les freins peuvent atteindre des températures allant jusqu’à 900°C ; cela est dangereusement difficile à refroidir rapidement.
À de telles températures, le phénomène de transfert de la chaleur peut, dans le pire des cas, provoquer l’inflammation des pièces environnantes, mais également détériorer la performance des freins, une éventualité tout aussi funeste.
L’impression en 3D de la pièce, bien que réalisée en plusieurs sections détachées qui ont dû être assemblées par la suite, a permis à RLL Racing d’obtenir une pièce en nylon solide et bien ajustée. Résultat, une amélioration des performances de freinage, une optimisation du temps et une sécurité accrue pour le pilote et l’équipe de mécaniciens.
Ce n’est qu’une des nombreuses impressions 3D qui ont aidé RLL à atteindre la ligne d’arrivée. Rahal Letterman Lanigan utilise la technologie d’impression 3D de XYZprinting depuis 2018. Celle-ci a sans aucun doute contribué à la victoire de leur pilote Takuma Soto aux 500 miles d’Indianapolis cette année.

Takuma Soto au Indianapolis Motor Speedway après avoir gagné la course IndyCar 500 (plus de 800 km parcourus à toute vitesse !).

La XYZprinting MfgPro 230 xS.